Geneviève Gagné
danse
Au centre des loisirs de Bellecombe, les artistes partagerons une étape de recherche de la création sur laquelle ils travaillent en résidence à L'Annexe-A. La présentation sera suivie d'une discussion animée par Audrée Juteau avec les artistes et le public. L'Annexe-A vous invite chaleureusement.
19h00
6200 rang Saint-Agnès
secteur Bellecombe, Rouyn-Noranda
Pour enfants âgés de 5 à 11 ans dans le cadre du camp de jour. Les enfants du camp de jours sont automatiquement inscrits à l’atelier. Les enfants non inscrits au camp de jour peuvent aussi participer à l’atelier, mais doivent alors être accompagnés d’un adulte.
Gratuit
Durée : 50 minutes
Réservation et information :
Au centre des loisirs de Bellecombe.
Sous le houppier
Sous le houppier est une nouvelle création qui s'inspire de l’inter-connectivité racinaire des arbres et qui allie la fougue des danses urbaines à la pratique du chi gong. Originaire de l’Abitibi, le panorama de la forêt boréale marque encore l'imaginaire de l'artiste et elle souhaite s’imprégner de celui-ci afin poursuivre cette recherche entamée lors d'une résidence au Musée d’Art de Joliette en 2018. Inspirée par le Qi gong, la danse contemporaine et le break dance, cette recherche sera à l’écoute du rythme de la nature.
CRÉDITS
Chorégraphe: Geneviève Gagné
Danseurs: Julie Tymchuck, Joe Danny Aurélien et Geneviève Gagné
BIOGRAPHIE
Interprète, chorégraphe, enseignante et improvisatrice, Geneviève Gagné est graduée de l’UQAM (2005). Elle se spécialise pour le travail au sol en fusionnant les techniques contemporaines et celle du break dance dans un vocabulaire explosif et articulée. En 2007, elle fonde le partenariat chorégraphique Floor Rider & TONIK avec Emily Honegger où elles créeront plus de 10 pièces. Depuis 2014, elle intègre le Qi Gong à son univers chorégraphique. En outre, elle travaille comme interprète pigiste avec Kyra Jean Green, Destins Croisés, Ample Man Danse, et elle a enseigne ponctuellement au département de danse du Cégep de Saint-Laurent depuis 2009.
crédit photo: Marie-Frédérique Frigon